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Entrant en dialogue avec les trames agricoles préexistantes, ce projet est un dispositif de colonisation d’un territoire agraire, plus que le dessin d’un projet urbain. Une nouvelle manière de s’inviter dans la Palmeraie. Nous proposons des mégastructures, non pas à l’échelle architecturale mais à la dimension d’un tissu. Ces ksour, ces châteaux-forts, sont des périmètres tenus et déterminés avec chacun une identité propre, mais dans une dimension constante de 100 m par 100 m. L’espace public et le paysage sont des interstices, des vides entre ces « quartiers ». La voirie n’est pas dessinée, ce n’est plus l’outil de la composition urbaine, elle est simplement résiduelle.